kiko Moderatrice en chef
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| Sujet: Rencontre avec Jean-Edouard Lipa : Musique électro, Miami et Loft Story ... Mar 29 Mai 2012 - 16:15 | |
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Jean-Edouard Lipa, DJ, est au coeur d’un Docs de choc, spécial "Miami : la folie électro de la Winter Music Conference". Pour l’occasion, le jeune homme de 32 ans revient sur son parcours musical, son album électro "God father is not dead" - aux influences variées (la House des années 90, ou des groupes comme Daft Punk, Avichi et Justice) - sorti début mai. L’ex-Lofteur évoque également la télé-réalité et ses expériences de comédien... | | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Pourquoi avoir accepté d’être suivi dans ce Docs de choc à Miami ?Jean-Edouard Lipa : On ne me voit pas souvent à la télé, parce que je n’ai pas envie qu’on me voie pour tout et n’importe quoi, si ce n’est pour mon travail, et en l’occurrence là, je trouvais l’approche plutôt sympathique. J’y ai aussi vu mon intérêt. Je partais dans une ville où je connaissais que très peu de monde et parfois avoir une caméra derrière soi, ça peut ouvrir quelques portes. Surtout dans les soirées de Miami. La Grosse Équipe vous a donc proposé d’aller à Miami pour essayer d’intégrer la Winter Music Conference ?J’avais plus ou moins prévu d’y aller et les personnes qui m’ont suivi le savaient puisque ce sont des amis. Lorsqu’ils m’ont proposé de le faire, je me suis dit que ce serait une plus-value pour moi. C’est un doc plutôt rigolo sur l’univers de la musique. Est-ce une forme de promotion pour votre album "God father is not dead" ?Oui. L’album vient de sortir, je l’ai autoproduit. Et lorsqu’on fait tout, tout seul, la promotion est très compliquée. Même si je n’ai pas fait le doc dans cette optique-là, je me suis dit que ça pourrait m’aider. Autoproduire cet album a-t-il été difficile ?
J’ai passé près de deux ans dans mon studio à faire l’album. C’est difficile, comme tout le monde, de composer, d’avoir des idées le lundi et le mardi, il n’y a plus rien. Mais le plus difficile pour moi, c’est d’en faire la promotion. Je prends plus de plaisir enfermé chez moi à faire de la musique que d’aller traîner sur des plateaux de télé à essayer de le vendre. Avec les années, je deviens vachement maladroit. Je n’ai pas peur de prendre des mauvaises critiques - ça, j’y suis préparé depuis longtemps - mais, je suis mal à l’aise dans ce travail de promotion qui ne me ressemble pas. L’expérience Miami a-t-elle concluante ?J’ai fait de très belles rencontres là-bas. Les gens ont apprécié mon travail. Le manager et les chanteurs que j’ai rencontrés ont écouté l’album avant qu’il ne sorte et ils m’ont dit qu’ils aimeraient beaucoup qu’on travaille ensemble. Donc, je rentre à Paris avec des contacts. Si pour beaucoup de gens, ce n’est pas grand-chose, pour moi, c’est vraiment pas mal. Source : Toutelatele |
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